Le « Slasher » est un sous-genre légendaire. On démarre avec Psycho et voyeur en 1960, il a commencé à gagner du terrain dans les années 70 avec les années 1974. Noël noir et Le massacre à la tronçonneuse au Texas et, plus particulièrement, celui de John Carpenter Halloween en 1978. Puis il y a eu un boom dans les années 80 et une résurgence occasionnelle dans les années suivantes. Comme le genre d'action, il est connu pour engendrer des franchises, et dans toute franchise, il y a du bon et du moins bon. Ce qui suit sont les suites qui entrent fermement dans la première catégorie. Du moins, à mon avis.
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Il y a certainement un argument valable selon lequel Terrifiant 2 et Terrifiant 3 ma place ici, mais je m'en tiens aux classiques. D'autres suites qui ont raté de peu la cible mais qui méritent certainement d'être mentionnées incluent Psycho II, Halloween H20 : des années plus tard, Un cauchemar sur Elm Street 4 : le maître des rêves, Le nouveau cauchemar de Wes Craven, Cri VI, Vendredi 13, partie 2et Vendredi 13, partie III. Ensuite, il y a les suites (et les préquelles) qui ne le sont pas. assez une adresse IP slasher, mais ils sont suffisamment proches pour recevoir un cri, comme Saw II, Saw X, Pearl, MaXXXine, Candyman (2021)Destination finale 2, et Destination finale 5. Pour l'instant, voici mes suites slasher préférées, classées de la moins efficace à la plus efficace.
Halloween II (1981)
Fortement détesté par certains, notamment pour son rebondissement impliquant Laurie Strode, Halloween II est néanmoins le plus proche que la franchise ait jamais réussi à capturer la puissance de l'original parfait de Carpenter. Le placer immédiatement après ce film était un coup de circuit pour la suite, tout comme le cadre hospitalier.
C'est imparfait, Laurie étant alitée pendant la majeure partie de la durée d'exécution et ce qui semble être une tentative active d'être moins subtile dans ses scènes de mort que le film précédent, mais le bien l'emporte largement sur le mal. Cela aurait également marqué une belle fin pour la franchise. Laurie tirant dans les yeux de Michael et le docteur Loomis se sacrifiant fonctionne très bien, tout comme la vue d'un Michael en feu marchant lourdement dans le couloir, suivi rapidement par « Mr. » des Chordettes. Sandman» jouant sur le parking couvert de brouillard de l'hôpital.
La fiancée de Chucky (1998)
Quoi Le nouveau cauchemar de Wes Craven a admirablement bien réussi celui de Ronny Yu La fiancée de Chucky s'en sort sans encombre. Son atout est Jennifer Tilly, qui offre l'une des performances les plus ludiques de l'histoire du cinéma d'horreur. Elle continuerait à fournir un travail remarquable au fur et à mesure que la série progressait, au point qu'elle a presque sauvé MariéeLe saut de requin massif d'un suivi : Graine de Chucky.
Chaque fois que Chucky et Tiffany interagissent dans le film de Yu, c'est un gagnant absolu. Les seules raisons pour lesquelles il ne figure pas plus haut sur la liste sont, premièrement, il aurait pu utiliser 10 à 15 minutes supplémentaires et, deuxièmement, Jade Kincaid de Katherine Heigl et Jesse Miller de Nick Stabile. Ils devaient être là pour que l'intrigue prenne de l'ampleur, mais ce n'est pas génial quand deux tueurs en série en plastique apparaissent comme plus humains que deux, enfin, humains.
Halloween 4 : Le retour de Michael Myers (1988)
Oui, Halloween II a assez bien terminé la franchise, mais Halloween 4 : Le retour de Michael Myers c'est encore un grand renouveau. La seule chose qui entrave vraiment l'impact de cette suite parfois visuellement époustouflante (elle capture la saison d'automne de la manière la plus convaincante possible en dehors du film original) est ce qui est venu après. Mais Halloween 4 n'est-ce pas Halloween 5 : La vengeance de Michael Myers: c'est beaucoup plus efficace, et cela fait de Jamie Lloyd de Danielle Harris et de Rachel Carruthers d'Ellie Cornell des icônes instantanées du slasher.
C'est vraiment dommage que Halloween 5 a commis l'erreur classique de tuer un personnage préféré des fans (Rachel) dans le premier acte, car leur dynamique fraternelle est l'une des relations les plus convaincantes de la franchise. Retour est également une extension parfaite de la torsion de Laurie qui divise. Cette tournure s'est produite, c'est devenu canon, et Retour j'ai couru avec. Après tout, quoi de plus effrayant qu'un meurtrier sans personnalité s'en prenant à des adolescents ? Un meurtrier sans personnalité qui s'en prend à un enfant.
Un jeu d'enfant 2 (1990)
Il y a un argument à faire valoir selon lequel Chucky est le meilleur méchant slasher, et s'il y a une seule entrée qui prouve cet argument, c'est Un jeu d'enfant 2. Bien rythmé et apparemment conscient de l'emblématique Chucky, c'est une amélioration par rapport au film original déjà solide à presque tous les égards.
N'était-ce pas des succès ultérieurs comme La fiancée de Chucky, La malédiction de Chuckyet la série télévisée, il existe de solides arguments selon lesquels la franchise aurait dû se terminer ici. J'ai peut-être un faible pour ça grâce à un visionnage de minuit dans mon enfance avec un bol de glace, mais Un jeu d'enfant 3 est infiniment plus faible. De son propre aveu, le créateur de la franchise Don Mancini a déclaré qu'il était à court d'idées après Un jeu d'enfant 2et ça se voit. Mais avec Un jeu d'enfant 2l'atterrissage était vraiment bloqué. Non seulement le troisième acte dans l'usine Good Guy est le meilleur de l'IP, mais le plan final d'Andy Barclay s'éloignant de ladite usine avec sa nouvelle sœur Kyle est un joli nœud d'arc.
Le massacre à la tronçonneuse au Texas 2 (1986)
Il faut quelques visionnages pour vraiment apprécier ce que faisait Tobe Hooper. Le massacre à la tronçonneuse au Texas 2. À peu près aussi loin d’un prédécesseur qu’une suite directe peut l’être, MTC 2 est un voyage de fièvre dingue avec un rythme non conventionnel et un peu d'expansion du personnage de Leatherface.
Le massacre à la tronçonneuse au Texas 2comme La fiancée de Chuckyfonctionne encore mieux comme comédie que comme film d’horreur ; cela dit, la scène routière du premier acte est véritablement tendue et effrayante. Mais ce qui aide vraiment cette suite à devenir le meilleur film de la franchise en dehors de l’original, c’est son casting. Caroline Williams est phénoménale dans le rôle de « Stretch », Bill Moseley est terrifiant dans le rôle de « Chop Top » et la performance gonzo de Dennis Hopper dans le rôle de « Lefty » montre qu'il a compris la mission.
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Crier (2022)
Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett AKA Radio Silence ont vraiment réussi quelque chose de spécial avec leur 2022 Crier. Il réussit dans tous les domaines – au point qu'il ressemble autant à un compagnon du film original qu'à Cri 2 est. C'est un mélange parfait de passé et de futur, avec les personnages de retour Sidney Prescott, Gale Weathers, Judy Hicks et, surtout, Dewey Riley, tous mis à profit sans jamais sacrifier l'accent mis par le film sur les nouveaux personnages.
Avec Cri VII confirmé de ramener au moins un membre du « Core Four », il est probable que les points de l'intrigue du redémarrage de 2022 et Cri VI se poursuivra, mais on souhaiterait que Radio Silence (et le combo de Jenna Ortega et Melissa Barrera) soient toujours impliqués. Certes, le camée vieilli de Skeet Ulrich ressemble un peu à un fan service défiant toute logique, mais dans l'ensemble, le retour de Ghostface dans Cri V était le coup de pouce dont l’IP avait besoin après les troisième et quatrième versements décevants.
Vendredi 13, partie VI : Jason Lives (1986)
vendredi 13 est une franchise qui a réussi à rester en vie pendant 45 ans parce qu'elle n'a pas peur de se changer, même s'il s'agit du désormais mort Vendredi 13 : le jeu ou celui assez ingénieux de Tom McLoughlin Vendredi 13, partie VI : Jason Lives. Huit ans avant que Wes Craven n'apporte une méta-nature aux slashers avec Nouveau cauchemarMcLoughlin a fait encore mieux avec Jason vitun film tellement en avance sur son temps que même les plus ardents détracteurs de la franchise ont dû lui donner quelques accessoires légers.
La réputation du film n’a fait que se renforcer au fil des années, et à juste titre. Pris en sandwich entre le largement méprisé (mais pas par moi) et le bon marché Vendredi 13 : un nouveau départ et le MPA massacré Vendredi 13, Partie VII : Le sang neufc'est facilement le point culminant de la seconde moitié du temps de Paramount avec Jason. Pourquoi McLoughlin n'a-t-il pas simplement confié les rênes de la franchise à partir de maintenant était un mystère, car son écriture et sa mise en scène sont pour le moins impressionnantes.
Cri 2 (1997)
C'est étonnant à quel point Cri 2 travaux. La fuite du script aurait dû être l'iceberg de son Titanic. Au lieu de cela, la suite apparaît comme un compagnon tout à fait organique du film original (certes légèrement supérieur). De l’ouverture en salle de cinéma (deuxième meilleur de la franchise) ; la mise en place du Poignarder la franchise comme méta-film dans un méta-film ; à la tournure choquante de la mort d'un personnage majeur (Randy), Cri 2 fonctionne à merveille, du début à la fin.
Il n'y a vraiment qu'un seul moment qui ne se fige pas vraiment, et c'est la mort de la colocataire de Sidney Prescott, Hallie (qui, soit dit en passant, était à l'origine censée être l'un des deux tueurs aux côtés du colocataire de Sid, Derek). Elle se tient juste au milieu de la route à côté d'une cachette de Ghostface et, surprise, se fait poignarder. Mais quand il faut pinailler une seule scène dans un slasher de deux heures, cela veut dire que c'est un slasher assez phénoménal.
Vendredi 13 : Le dernier chapitre (1984)
Comme les antagonistes des meilleurs films de vampires, Jason ne semble jamais mourir. Mais, dans le cas des vampires, un pieu en bois dans le cœur suffira alors que chez M. Voorhees, même la combinaison d'une machette au visage et d'un studio gêné par sa propre propriété réussie n'était pas suffisante. Oui, celui de Joseph Zito Vendredi 13 : Le dernier chapitre était censé mettre fin à la franchise (tout comme Vendredi 13, partie III) mais finalement non. En fait, le délai entre ce slasher de John Hughesian et Un nouveau départ a été le plus court de l'histoire de la franchise.
Parmi les huit films originaux de Paramount, Le dernier chapitre joue comme le plus proche d’un véritable film complet. L'original est toujours le meilleur pour réaliser un cauchemar de 24 heures qui fait que le spectateur se sent réellement impliqué – mais tous les arguments en faveur de la quadrilogie de Zito sont solides.
Un cauchemar sur Elm Street 3 : Dream Warriors (1987)
Comme Vendredi 13, partie VI : Jason Livescelui de Chuck Russell Un cauchemar sur Elm Street 3 : Dream Warriors joue comme en avance sur son temps. C'est un film si créatif que même le slasher-basher le plus bruyant doit lever les bras et dire : « D'accord, sauf pour que un….” C'est aussi l'entrée qui a transformé Freddy Krueger d'un mystère en un phénomène de la culture pop (même si cela s'avérerait être une arme à double tranchant).
Le retour de Nancy Thompson du premier film est le bienvenu, tout comme Donald Thompson de John Saxon, mais ce sont les nouveaux personnages qui volent la vedette. On ne peut pas en dire autant de n'importe quel autre film slasher, mais il n'y a pas de fausse note dans Guerriers de rêve quand il s'agit du département par intérim. Si un redémarrage devait réellement démarrer, Guerriers de rêve ferait un bon modèle. Cela commence avec Heather Langenkamp, dont Nancy meurt ici mais, franchement, la série a pris de plus grandes ampleurs que de faire revivre un favori des fans. Sans parler de, Guerriers de rêvePatricia Arquette a également déclaré qu'elle serait prête à revenir, une perspective à ne pas ignorer. Oh, et les contributions musicales de Dokken sont également sublimes.
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